Quelle a été votre première Veillée silencieuse ?
J’ai participé à la toute première édition, en 2012 à Berne.
Et depuis ce jour, combien de fois êtes-vous venue ?
J’ai toujours été là, à une ou deux exceptions près, quand j’ai eu des empêchements majeurs.
Votre engagement est un exemple, merci beaucoup ! Qu’est-ce qui vous motive à prendre part à la Veillée silencieuse ?
J’étais encore jeune quand j’ai été confrontée aux problèmes des chrétiens persécutés. Depuis ce jour, il est très important pour moi de me souvenir de ces frères et sœurs dans la foi et de les aider dans la mesure du possible.
Comment se sont déroulées les Veillées auxquelles vous avez participé jusqu’à présent ?
À chaque fois, j’ai été très émue de voir des personnes de tout âge et de toute origine se rassembler dans un but commun. Je désirerais bien sûr que davantage de personnes participent à la Veillée, y compris certaines de mes connaissances que j’invite depuis plusieurs années.
Avez-vous un souvenir particulier que vous aimeriez partager avec nous ?
Je me souviens de la Veillée de décembre 2017. Elle s’est déroulée sous une pluie battante et nous avons lutté pour garder les bougies allumées. Il m’a semblé que les passants étaient impressionnés par notre persévérance et par notre façon de simplement nous tenir là.
Désirez-vous participer à la prochaine Veillée en décembre 2021 ?
Bien sûr, je serai là si c’est possible.
Reto Baliarda
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