Depuis septembre 2023, Selina Messmer collabore à temps partiel au département de la communication de CSI-Suisse. Dans cette interview, la jeune femme de 24 ans révèle pourquoi elle a déposé une candidature spontanée chez CSI.
Selina Messmer travaille pour CSI depuis septembre 2023. mad
Selina Messmer, qui êtes-vous ?
J’ai grandi dans l’Oberland zurichois et je vis maintenant à Stäfa, au bord du lac de Zurich. Depuis 2020, j’étudie les cultures populaires à l’université de Zurich. Je suis également des cours de théologie réformée en branche secondaire. Mon cœur bat pour les personnes qui ont besoin de soutien et d’amour dans leur vie.
Vous avez envoyé une candidature spontanée à CSI. Quelle était votre motivation ?
Je cherchais un travail qui ait du sens pour moi et je suis tombée sur CSI. Cette organisation de défense des droits de l’homme m’a particulièrement attirée, car elle s’engage pour la liberté de religion et la dignité humaine dans différents pays sur la base de valeurs chrétiennes. En tant qu’étudiante et croyante engagée, la méthode de travail de CSI m’a beaucoup plu.
Visiez-vous particulièrement un poste dans la communication ?
Étant donné que CSI m’intéresse en tant qu’organisation, j’aurais pu envisager différentes activités à temps partiel. Mais j’avais une prédilection pour le domaine de la communication.
Vous écrivez de nombreux rapports pour CSI. Aviez-vous déjà une expérience rédactionnelle ?
Oui, j’ai travaillé pendant un an comme stagiaire à la rédaction du service d’information chrétien Livenet. Je rédigeais des rapports et collaborais à la gestion du site internet.
Vous travaillez pour CSI depuis septembre 2023. Comment avez-vous vécu vos premiers mois ?
Mes supérieurs et mes collaborateurs m’ont initiée de manière structurée et compétente, ce qui m’a permis de m’adapter rapidement. Grâce aux échanges réguliers au sein de l’équipe, mon travail chez CSI me devient de plus en plus familier.
Qu’appréciez-vous dans votre travail ?
J’ai beaucoup de plaisir à aider les personnes qui sont dans le besoin et c’est un privilège pour moi de pouvoir sensibiliser celles qui sont plus privilégiées à leur détresse. Il n’est pas toujours facile d’écrire des histoires souvent très tristes tout en gardant l’espoir. Mais lorsque je vois de quelle manière l’engagement de CSI permet d’obtenir des améliorations, qu’elles soient petites ou grandes, je constate que notre travail en vaut la peine. Cela me motive à vivre en ayant de l’amour pour mon prochain aussi dans ma vie de tous les jours.
Comment se présente votre avenir professionnel ?
Comme j’étudie à temps partiel, ma formation à l’université de Zurich durera encore trois ou quatre ans. Dans mon domaine d’études, de nombreuses possibilités me seront ouvertes plus tard. Je peux très bien m’imaginer rester active dans le domaine de la rédaction, de la communication ou du marketing après l’obtention de mon diplôme, car le travail dans ces domaines chez CSI m’a jusqu’à présent apporté beaucoup de joie et d’épanouissement.
Interview : Reto Baliarda
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